J’ai chanté le Soleil et les chaudes ondées,
Météo de mon âme d’amoureux passionné,
Faisant la sourde oreille, voulant te persuader
D’alimenter ma flamme si bien intentionnée.
Au seuil de notre histoire, tu m’avais déclaré,
Que tu serai ma sœur plutôt que ma moitié,
Fatiguée des noceurs et des tristes soirées,
Faites de chansons à boire, fêtes de bistrotiers.
Je me suis entêté, on ne se refait pas,
Toxico de l’amour, je plaide le sursis,
Et viens plein d’anxiété faire mon mea-culpa,
Espérant que toujours tu seras mon amie.