Phénix
J’aimerais te demander si tu te souviens de cet instant si magique qui lie à jamais un enfant à ses parents, ma douce maman te souviens-tu du premier regard que tu as posé sur moi ?
Comme j’aurais aimé te poser toutes ces questions avant qu’on t’arrache à moi mais je n’en ai guère eu le temps. Tu es partie par la main d’un homme et je le condamne moi-même à périr en prison.
Maman par-delà le ciel je voudrais que tu donnes à ton aînée aujourd’hui la force de se relever, d’accepter ce qui est impardonnable, et de vivre sans toi. Je voudrais te serrer dans mes bras et ressentir ton amour celui qui me manque terriblement.
Je me sens si profondément seule que ce tourment me rend des plus sombre et je voudrais être apaisée, je suis fatiguée d’être dans cette obscurité que ton décès à laissé….