Fonseca

C’est un écrit poétique décryptage basé à l’épigraphe utilisé par l’écrivain artiste Pasolini, dans son livre Le rêve d’une chose. 

L’épigraphe est de Karl Marx, daté de septembre 1843 :
 » Notre devise doit donc être :
Réforme de la conscience, non par des dogmes, mais par l’analyse de la conscience mystique inintelligible à elle-même, qu’elle se manifeste dans la religion ou dans la politique. Il apparaîtra alors que depuis très longtemps le monde possède le rêve d’une chose… « 
J’ai formulé que quand Marx parle de  » la conscience mystique inintelligible à elle-même  » il parle de L’INCONSCIENT.
Je pense pas à Jung et son rapport mythique.
Je pense à Freud.
Et j’ai écrit après Marx : la réforme de la conscience par l’analyse de l’inconscient.
Ou encore plus :
Réforme de la conscience par l’analyse
              de LACAN SCIENCE
              Lacan séance.
Mais quelqu’un aujourd’hui encore peut questionner : comment on peut imaginer que par l’inconscient, soit quelque chose qu’on ne domine pas, est-ce qu’on va effectivement changer la conscience ?
Réponse : Lacan va nous dire que l’inconscient est langage.
Donc, langage en travail analytique va être l’accès à la réforme de la conscience.
Parce que c’est exactement ça :  » chose qu’on ne domine pas  » qui est le révélateur de nous-même.
Autrement dit, sans filtre. Ou, j’ose dire : le réel.
Quand on aborde cette dimension est quand on commence effectivement à parler, à parler une autre langage. Langage de vie. Ma recherche : pour une langage de vie.
Langage que va se manifester, pas seulement  » dans la religion ou dans la politique  » comme parle Marx.
Langage que va se manifester dans toute la relation de notre vie et à tout moment.
Bien étendu, aussi, dans le rêve.
Marx encore:  » … possède le rêve d’une chose « 
En plus : le rêve est une chose.
De  » lalangue  » vie.
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