Fred,
Je préfère t’écrire une lettre pour aborder avec toi un sujet délicat.
Je m’inquiète beaucoup pour toi ces derniers temps. Depuis la perte de ton emploi, tu t’isoles chaque semaine davantage et tu refuses de plus en plus le dialogue que ce soit avec moi, ta femme ou avec tes parents.
En tant qu’ami, il est de mon devoir de t’aider. Je trouve que tu consommes de l’alcool plus que de raison. Ce n’est plus une consommation festive et occasionnelle, je pense que tu essaies de noyer un mal-être profond.
Mais ce n’est pas la bonne méthode, tu te fais encore plus de mal, mais tu fais également souffrir ta femme et tes enfants. Je sais que ce n’est pas ce que tu veux au fond de toi, tu es quelqu’un de bon, de profondément gentil et aimant, ainsi qu’un bon père.
Je t’en prie Fred, accepte ma main tendue. Je suis là pour toi, je peux t’aider, appelle-moi. Tes amis et ta famille t’aiment et c’est tous ensemble que nous surmonterons cette épreuve.
Frankron