Anna-Bulles
La passagère du silence est née sous une lune argentée,
Dans un jardin d’une tendre beauté où
L’on peut échapper à une famille
Où la folie frôle la créativité.
Subtilité du jardin avec ses cerisiers japonais,
In pont qui ruisselle,
Le vent qui soupire.
In pont qui ruisselle,
Le vent qui soupire.
C’est ici que régulièrement une vallée de larmes l’envahit.
Elle pense à ses enfants, elle pense à ses parents, à une adolescence dorée qui l’a pliée,
Et abîmée pour l’éternité.
Elle pense à ses amours perdus, elle pense… Chut.
Ne pas penser, c’est l’heure de rêver.
Et abîmée pour l’éternité.
Elle pense à ses amours perdus, elle pense… Chut.
Ne pas penser, c’est l’heure de rêver.
Ce soir la lune est noire et n’éclaire même pas une bougie! Des mots dans sa tête tournent en rond, s’enfoncant peu à peu dans le néant, Vertiges, attention, le vide t’attend.