Anna-Bulles

C’est l’histoire d’une tendre maison, de son jardin des mots, et de ses occupants qui bougeaient tout le temps.

Les résidents, qui se réunissaient la nuit, avaient créé une confrérie : la « cinglerie », travaux en tout genre. Une petite communauté entre gros mensonges et petite vérité. Ils vivaient sur un slogan thérapeutique qu’ils adoraient : le lait démaquillant efface les impuretés, les saletés, fait émerger la réalité, cachée.

Quant à la confrérie, n’y peut entrer qui n’est pas cinglé ; qui n’est assez fou n’y peut rester.
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