Charly
Une chanson qui me hante telle une fin annoncée,
Je suis triste mais tellement serein,
A cet instant précis où mon corps, mes os, ma matière,
Semblent prêts à exploser, se vaporiser,
En une multitude de particules.
Tout est libéré de ses chaînes.
J’ai mal !
Et pourtant je jouis,
De cette indifférence qu’est ma vie.
Qui me transporte et m’amène à l’instant précis,
De ma fin inéluctable.
C’est maintenant que je comprends :
Pas de début, pas de fin,
Juste un tourbillon de joie et de souffrances infinies.
Je suis le vide de la projection d’un esprit tourmenté.