MB78
Dans l’ombre des jours un souffle s’éteint,
L’âme erre et tangue, un murmure sourd,
Tel le vent qui s’égare, les rires s’effacent
Et le cœur se farde de tristesse et de chaos.
Dans la douleur vive se glisse un instant un souvenir doux,
Une lueur d’existence.
C’est un cri de l’âme, car
Au cœur du pire,
Au cœur du pire,
Entre ombre et lumière
Se révèle la force de vivre.
Se révèle la force de vivre.