Déjà-vu
…de ma fenêtre, je constate que rien n’a changé.
…de ma fenêtre, je constate que rien n’a changé.
J’aime déjà ton odeur de crayon…
La poésie peut enfin naître.
À c’qui paraît c’est la vie
Je voudrais vivre sur la lune, et mourir de temps en temps…
Toi que depuis toujours j’aime et dont me languis…