Charly
Écrits
J’ai croisé un docteur
Ma méfiance du médical était immense…
Encore une décision
Je laisse doucement glisser cet autre si maléfique
Chié de douleur
Je suis enfin libre car j’ai trouvé le maître de mon esprit torturé
Le dormeur
Je brûle d’un feu presque cosmique.
Sois fort mon fils
Rien n’est mort, tout est commencement
Pour ne pas penser…
Ma souffrance et mon doute…
Telle une fin annoncée
C’est maintenant que je comprends : Pas de début, pas de fin…
La lumière d’une renaissance annoncée
Que je sache enfin,
Qui je dois être et qui je suis vraiment ?
Des millions de possibilités s’offrent à notre futur
Je me déteste mais je ne sais pas qui je suis.
Lettre à mon psy
Mourir sans cesse et sans cesse comme une boucle infernale…
La haine
La haine est comme une chienne…
Bien donner
L’enfer est pavé de bonnes intentions…
À vous, Monsieur
Mourir est peut-être la seule liberté qu’il me reste
Désillusion
Je cherche le réconfort près de mon âme-sœur…
À mon père
Voici l’hiver qui approche, froid glacial qui traverse mon cœur
Rechute
Bien fatigué, beaucoup encore a me pardonner sinon le trou je vais y rester.
Si fragile
La musique arrive à me sortir la tête de cette eau boueuse où je m’enfonce petit à petit. Je laisse cette vague merveilleuse m’emporter.
Cette vision du monde
J’ai besoin des deux pour comprendre et apprécier ce que la vie m’apporte
Increvable
délivré de ton ventre et de tes entrailles amères…
Impressions
Prédateur de nombreuses nuits
Ecrire un journal intime
Le poids d’une période. Inévitablement dans notre dos.
Je suis encore venu
Tous ces charlatans mon amour, ton retiré le droit de rêver et d’aimer.
Réhabiter
A ce jour la mort ne me fait plus peur.
Devant Paris et sa beauté
Voyageurs d’un éternel désir inaccessible…
Encore un soir, encore une nuit…
J’ai besoin d’aimer…
Réflexions d’un vieux con
Interrogations sur le chemin vite trop vite…
Mon silence
Alors que le silence est comme un cœur qui s’arrête de battre
Toi
L’espoir d’un futur enfin retrouvé.
Nuit noire et sombre
Arraché à mes rêves d’amour absolu…
Douleurs et insatisfaction
Charly J'ai mal ! Depuis des jours, qui me paraissent une éternité. Je souffre de ces putains de genoux que Cocaïne et son frangin Crack, Ont doucement et méticuleusement laminé. Mes « amis » du quartier me prenaient pour un crack : "Iron Man" !... Sous produits je...
Amour ou démon
…mais ce jour-là je t’aurai perdue à jamais.